contre-jours

Publié le par pacenid














Le contre-jour, c'est la fascination. C'est le défi de mettre l'excès de lumière dans la boite noire. C'est vouloir transformer le blanc en argent.
C'est la disparition du contour.














L'aplat brille, les cailloux sont des bijoux.

Les éclats de lumière aveuglent l'objectif, au sens propre comme au figuré. Les noirs prennent vie, et les textes de REMBRANT ou les dires de SOULAGES nous paraîssent à cet instant bien pertinents.






























































lisses et brillantes, figées ou matées, les surfaces éblouissent et l'oeil perd ses reflets.
















































































































































La lumière de la montagne est violente, sa clarté est pure, le noir et le blanc s'épousent.
































































L'aveuglement du soleil a troublé nos sentiments. Comment ne pas penser dans les brillances qui pénètrent notre regard à l'instant fatidique de l'ETRANGER de CAMUS ?

Dans les villes, la lumière est plus maîtrisée. Les couleurs et les dispositions des éclairages sont des signes.

Par la magie de la pluie, les trottoirs éclatent en flaques colorées.

















Les phares d'une voiture viendront bouleverser le calcul de la cellule et transformer une atmosphère nostalgique en une image de gaité pleine d'énergie.












Publié dans culture photos

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